Perkz critiqué aux LCS : « Je me fiche de ce que les autres disent »
Cloud9Après 3 matchs et une performance en demi-teinte en LCS, la star de League of Legends, Perkz a répondu aux nombreuses critiques, précisant qu’il n’était pas là pour “prouver quoi que ce soit à qui que ce soit”.
Considéré par beaucoup comme le mouvement le plus important de l’intersaison sur la scène League of Legends, le transfert de la légende européenne Luka « Perkz » Perković chez Cloud 9 amène avec lui son lot d’attentes, parfois démesurées.
Ce week-end, tous les yeux étaient rivés sur l’entrée en lice de l’ancien joueur de G2 Esports sur la scène américaine, avec le début du tournoi de pré-saison LCS Lock-In.
Riot GamesPourtant, le Croate a démarré la saison en demi-teinte par une défaite face aux excellents Evil Geniuses vendredi. Si Cloud9 s’est finalement rattrapé les jours suivants, battant coup sur coup Flyquest puis Immortals, le midlaner star n’aura pas brillé.
Face à ces performances mi-figue mi-raisin, fans et casters ont commencé à se poser des questions, et à critiquer l’implication de Perkz.
Perkz reste confiant
Mais l’octuple champion d’Europe n’est pas inquiet. Lui-même le dit, « l’équipe fonctionne très bien en scrims, et tout se passe bien pour le moment ». Concernant les critiques, Perkz ne les écoute pas. « Je me fiche de ce que les autres disent. Je ne suis pas venu ici pour prouver quoi que ce soit à qui que ce soit. Si je suis ici, c’est pour mon évolution personnelle, et je veux faire du mieux que je peux dans cette nouvelle aventure. »
Riot GamesL’important pour Perkz, c’est d’être sur la même longueur d’onde que ses nouveaux coéquipiers. En revenant sur certains moments de ses 3 premiers matchs, il admet avoir senti un « décalage » au sein de l’équipe. Mais il reste confiant, avouant que Cloud9 fait tout pour qu’il soit dans les meilleures conditions possibles.
Il ne reste plus qu’à voir cette nouvelle synergie sur la Faille de l’Invocateur. Premiers éléments de réponse vendredi 22 janvier, alors que C9 affrontera Dignitas à minuit.
