Ninja appelle Epic Games au milieu d’une partie pour faire bannir un hacker sur Fortnite
Tyler ‘Ninja’ Blevins a pris des mesures radicales après avoir été tué par un hacker sur Fortnite en appelant les développeurs du jeu.
Le problème des tricheurs sur le battle royale d’Epic Games n’est pas récent. Cela fait depuis sa sortie que les joueurs se plaignent des tricheurs qui utilisent des aimbots et autres wallhacks sans que Epic Games ne fasse grand-chose.
Récemment, Ninja a fait face à un tricheur alors qu’il jouait en duo avec Reverse2k. Un joueur avec un minigun qui ne met que des headshots, il n’y a pas beaucoup de place au doute, et c’est pour ça que Ninja a décidé d’appeler un développeur d’Epic Games au milieu de la partie.
Ninja est très proche d’Epic Games.En tant que l’un des plus gros streamers du monde qui est spécialisé dans Fortnite, Tyler Belvins a évidemment des contacts chez Epic Games, et il a décidé de les utiliser pour le bien de la communauté.
“Je ne quitte pas cette partie tant que ce gars n’est pas banni” on peut l’entendre dire. Il prend ensuite son téléphone et appel un développeur : “Hey, c’est Tyler. Dans ma partie, un hacker vient de nous tuer, moi et mon coéquipier. Je le regarde en ce moment, y a-t-il un moyen de faire en sorte que quelqu’un s’en occupe ?“
“Je le regarde littéralement. Il court avec un minigun et un hoverboard et ne fait que des headshots. Si vous regardez Mixer maintenant, vous aurez une preuve irréfutable. Je m’assurerai de vous envoyer les clips.” a-t-il continué.
À la fin, il signale aussi le hacker via le jeu directement, mais cela ne fonctionne pas toujours. C’est certainement plus efficace d’appeler directement un des développeurs.
On ignore si le joueur a été banni par Epic Games, mais après ce qui s’est passé, il est très probable qu’il le soit. En tout cas, on l’espère car ça sera toujours un hacker de moins sur le jeu.
En tout cas, si vous êtes dans la même partie que Ninja, évitez de cheater car il prendra toutes les mesures possibles pour vous faire bannir.
